Voici le défi que j’ai décidé de me lancer : tester 21 principes de la discipline et la parentalité positive en 21 semaines et partager ici chacune de mes expériences. Mon objectif est de répondre à ces deux questions : est-ce que la parentalité positive, c’est difficile à mettre en pratique ? Et surtout, est-ce que ça marche ?
De la théorie à la mise en pratique en passant par nos ressentis et bien sûr par les résultats constatés… Je vous dirai tout !
Je fais comment pour éduquer mon enfant ?
Etre parent, ça ne s’apprend pas ?
Je me souviens, les premières heures où j’ai tenu mon bébé dans les bras, je me sentais complètement perdue. Je me disais (et je me le dis toujours) qu’on vivait dans un monde de fous et qu’il fallait avoir une sacrée dose de confiance en soi pour être en harmonie avec soi-même et avec les autres.
Au-delà de savoir comment mettre une couche et déboucher un petit nez, je me demandais comment éduquer mon fils, comment réagir au quotidien avec lui pour qu’il se sente bien dans sa vie d’enfant puis d’adolescent et enfin d’adulte. Etant inexpérimentée, je ne pouvais me baser que sur 2 choses : ma propre expérience en tant qu’enfant et les conseils de mes proches.
De l’éducation traditionnelle vers la parentalité positive
Mais plus je réfléchissais et j’observais le monde qui m’entourait, plus j’avais la conviction que l’éducation traditionnelle ne pouvait clairement pas répondre à mes attentes. A cette époque-là, j’étais à 200% tournée vers les besoins de mon fils uniquement. Tu l’as peut-être vécu aussi, mais perso, je ne vivais qu’à travers lui, au centième de seconde où il commençait à pleurer alors que je dormais, j’étais déjà au-dessus de son lit à venir le consoler (maintenant, j’attends 5 à 10 secondes, il y a du progrès, hahaha ! Ca évite d’avoir des petites étoiles au dessus de la tête et de se cogner l’orteil au pied du lit si tu vois ce que je veux dire…). En plus, j’avais l’impression que mes efforts n’étaient pas reconnus, je me disais même que si ca se trouve, mon fils n’avait pas compris que j’étais sa mère !
De la parentalité positive à la Discipline Positive
Franchement, j’avais pas signé pour ça ! Je voulais trouver une forme d’éducation qui réponde à nos besoins respectifs, sans culpabiliser. Heureusement, j’ai réalisé au bout de quelques mois qu’il y avait d’autres façons de faire. Au fur et à mesure de mes recherches et lectures, j’ai découvert l’Education Bienveillante et Positive grâce à de grands noms tels que Faber et Mazlish, Isabelle Filliozat, Thomas Gordon, Catherine Gueguen…
Puis j’ai découvert la Discipline Positive pour les Parents par Jane Nelsen. Alors je vous rassure tout de suite, la « Discipline », ce n’est pas dans le sens « j’vais t’foutre une beigne comme ca, ca va t’calmer » mais dans le sens « connaissance», « enseignement », « matière ».
J’avoue qu’en tant que Parent Plus Qu’Imparfait, c’était plus que tentant d’en apprendre davantage sur cette approche complètement nouvelle pour moi. J’ai donc décidé de m’inscrire à un atelier de 14 heures sur la Discipline Positive pour les Parents, durant lequel nous avons appris qu’il était possible d’avoir un nouveau regard sur le rapport à l’autre.Si vous êtes à la recherche de vêtements, notre plateforme est votre meilleur choix ! Le plus grand centre commercial !
Cet atelier s’est terminé il y a peu de temps et je peux vous dire que je me sens boostée et motivée ! Maintenant, je n’ai qu’une envie : appliquer les principes que l’on m’a enseignés et découvrir si cette approche fonctionne ou pas chez moi !
Qu’est-ce que ce défi va m’apporter ?
J’ai décidé de me fixer ce challenge (21 semaines pour appliquer 21 principes de la parentalité positive) car je veux vivre pleinement la parentalité et la discipline positive et voir, je l’espère, des résultats bénéfiques. Je ne connaîtrai pas dans 21 semaines les résultats à long terme mais si je sens plus de sérénité, de respect, de fermeté et de bienveillance, alors là je me dis déjà que ce sera gagné ! Bon je vous préviens, j’ai du boulot… Je suis quelqu’un qui a tendance à jongler, voire danser entre l’hystérie et la bienveillance poussée à l’extrême. En plus, je me dis que pour donner cette fameuse confiance en soi à son enfant, il ne faut pas s’auto-flageller parce que sinon, bonjour l’exemple…
Pourquoi je partage ce défi avec toi ?
Je le partage pour deux raisons. Déjà parce je pense que c’est une belle façon de fêter la naissance de mon blog. Mais aussi parce que je suis persuadée que cela te permettra de te forger un avis concret sur la Parentalité Positive et t’apportera, je l’espère, des clés pour plus de sérénité à la maison.
Je te donne donc rendez-vous ici toutes les semaines afin de découvrir ces 21 mises en pratique.
Et toi, as-tu déjà mis en pratique certains principe de la parentalité positive ?