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Comment déculpabiliser sans tomber dans l’autocomplaisance ?

Sortir de la culpabilité est un grand soulagement mais attention à ne pas tomber dans l’autocomplaisance, au risque de ne pas vivre une vie alignée avec ses valeurs. Je t’explique tout dans ce nouvel épisode de podcast.


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On continue notre série d’épisodes de podcast sur la culpabilité. Dans le premier épisode, nous avions vu comment la culpabilité pouvait être une force. Si tu ne l’as pas encore écouté, je t’invite à la faire quand tu as un moment.

Je te le disais la semaine dernière, beaucoup de parents qui me suivent ressentent régulièrement une très lourde culpabilité au quotidien : ils se sentent coupables d’avoir crié sur leurs enfants, de ne pas passer assez de temps avec eux, de ne pas toujours préparer de petits plats maison 😓…

Cette culpabilité entraîne chez eux beaucoup de ruminations et d’auto-flagellation. Mais cette culpabilité amène peu de changements au final.

J’en parle dans le dernier épisode, j’appelle cela la culpabilité plombante.

Moins de culpabilité et plus d’autocomplaisance ?

Il y a quelques temps, une maman me disait : « J’en ai marre de culpabiliser comme ça mais si je déculpabilise, je risque de tomber dans l’autocomplaisance ».

Je comprends ce que veut dire cette maman. Prenons un exemple.

Tu as eu des mots très durs envers ton enfant. Tu commences à culpabiliser puis, pour te décharger de cette culpabilité trop pesante, tu choisis de penser « Ce n’est pas grave, demain il aura déjà oublié ! Et puis c’est mon caractère ! ». Puis tu passes à autre chose et le lendemain, les mots violents se répètent 🙄…

Dans cet exemple, il s’agit effectivement d’autocomplaisance. On enfouit notre culpabilité, on évite de voir la réalité en face pour se sentir plus léger (sur le moment seulement !). Résultat : on met la poussière sous le tapis et rien ne change

Evidemment, déculpabiliser pour tomber dans l’autocomplaisance et ne rien changer n’est pas une solution. Mais se culpabiliser au point de s’en rendre malade n’en est pas une non plus !

Les bénéfices de la culpabilité et de l’autocomplaisance

Et pourtant… Savais-tu que la culpabilité et l’autocomplaisance ont toutes les deux des bénéfices à nous apporter ?

La culpabilité, lorsqu’elle est bien dosée, nous invite à la remise en question. Et la remise en question permet de cheminer vers une vie alignée avec ses valeurs. Tu le sais si tu as écouté l’épisode précédent, je nomme cette culpabilité, la culpabilité constructive.

L’autocomplaisance, quand elle est utilisée au bon moment, nous permet de nous parler et de nous traiter gentiment et avec compassion. Comme le ferait un.e amie !

L’autocomplaisance est un biais intéressant car il peut être utile pour accueillir ses émotions et s’accorder de l’amour.

La clé réside alors dans le fait de ne plus subir sa propre culpabilité ou son autocomplaisance mais de choisir de les ressentir, en pleine conscience.

Faire le choix de la culpabilité et de l’auto-empathie

Quand une situation déplaisante arrive et que la culpabilité devient trop lourde pour être saine, alors, tu as besoin d’un élan d’amour 💟.

Je t’invite alors à te lancer dans l’auto-empathie, l’autocompassion et l’autocomplaisance pendant un petit moment et à te dire des paroles affectueuses et pleine de compassion. Accueille tes émotions à bras ouverts.

Je sais que ce n’est pas toujours facile, surtout quand on est habitué à s’auto-flageller et à être dur.e envers soi-même.

Dans ce cas, imagine vraiment que tu t’adresses à ton ou ta meilleur.e ami.e. En disant « Tu ».

Par exemple « Ohlala ma puce mais attends, je comprends que tu en aies eu ras-le-bol ! Ca faisait 10 fois que tu lui répétais la même consigne ! Et encore, tu as été patient.e je trouve ! Tu as le droit de craquer, tu n’es pas un robot ! ».

Une fois que tu te sentiras plus apaisée, il sera temps pour toi de passer à la deuxième étape. Eh oui ! Parce que si tu restes bloqué.e dans la première étape, rien ne va changer.

La deuxième étape, ca va être de comprendre ton tout premier sentiment de culpabilité. Pourquoi je ressentais de la culpabilité ?

Qu’est-ce que j’ai fait ou dit qui va à l’encontre de mes valeurs ?

Et c’est à partir de ce moment-là que tu pourras aller vers la dernière étape : passer à l’action.

Passer à l’action en te fixant des petits objectifs pour avancer pas à pas vers là où tu veux aller.

La culpabilité et l’autocomplaisance : pour résumer

N’oublie pas : si tu restes complètement bloqué.e dans ton schéma de pensées ou si tu ne passes pas à l’action, automatiquement, il n’y a d’amélioration, d’évolution ou de changement !

Pour résumer :

L’autocomplaisance peut être utile quand on se sent bloqué et paralysé par la culpabilité.

Attention toutefois ne pas rester bloqué là aussi dans l’autocomplaisance.

Donc, si tu ressens une culpabilité plombante :

Etape 1 : Fais preuve d’auto-empathie, d’auto-compassion et d’auto-complaisance. Parle-toi comme si tu parlais à ton ou ta meilleur.e amie.

Etape 2 : quand tu te sens plus apaisé.e, prends ton carnet et ton stylo pour t’auto-coacher. L’idée ? Comprendre pourquoi tu ressentais cette culpabilité.

Etape 3 : fixe-toi des petits objectifs pour avancer et passe à l’action !

N’hésite pas à me partager tes ressentis en commentaire ou en remplissant ce formulaire.

Est-ce que tu te sens parfois bloqué.e dans cette culpabilité ?

Est-ce qu’il t’arrive de faire preuve d’auto-complaisance et là aussi, de resté.e coincé.e dans ce sentiment ?

Je serais ravie d’échanger avec toi !

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Image : Joshua Abner

2 commentaires

  1. « La culpabilité, lorsqu’elle est bien dosée, nous invite à la remise en question. »: J’adore !!
    Comment transformer une émotion négative en un levier d’apprentissage, et une occasion de s’améliorer, plutôt que de rester dans le mal-être qui s’accumule jour après jour et pèse de plus en plus lourd sur le dos des mamans… Qui en ont déjà plein le dos et porte tellement de choses !
    Merci pour cet article qui fait grandir

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